Le puzzle protecteur potentiel contre le vieillissement cérébral
«La pratique du puzzle améliore significativement certaines de ces compétences cérébrales»
Patrick Fissler, chercheur en neurologie à l’université d’Ulm, en Allemagne.
Lancez-vous des défis par des activités nouvelles !
Les effets cognitifs de la résolution de puzzles n’ont pas été étudiés jusqu’à présent, malgré son utilisation fréquente comme activité de loisir dans toutes les cohortes d’âge à travers le monde. Selon les études menées par Patrick Fissler (2016-2017), le puzzle exploite plusieurs capacités cognitives et constitue un facteur de protection potentiel pour le vieillissement cognitif. (Rapport original de l’étude).
Une étude signée par Patrick Fissler, chercheur en neurologie à l’université d’Ulm, démontre que le puzzle « pourrait, à long terme, être bénéfique au cerveau ». Néanmoins, selon le Dr Croisile, neurologue au CHU de Lyon, interrogé par le Figaro. Selon lui, les performances observées ne signifient pas nécessairement que « les compétences seront améliorées dans la vie quotidienne ». L’activité ne peut néanmoins pas faire de mal dans une perspective d’entretien régulier de la machine cérébrale. Et plus le puzzle est difficile, meilleur c’est pour vos neurones !
A vous de jouer !
Pour voir l’image en fond du Puzzle, cliquer sur le petit fantôme, en bas à gauche
et pour le plein écran en bas à droite.
Puzzles de 15 à 30 pièces
12 pièces
16 pièces
24 pièces
Puzzles de 30 à 70 pièces
32 pièces
50 pièces
60 pièces